Chalon plie sur la fin

Chalon jouait ce soir un match capital de Basketball Champions League face à l’ALBA Berlin, avec la possibilité de décrocher directement son ticket pour le tour suivant en s’imposant ou en s’inclinant de moins de cinq points. Une mission déjà compliquée, rendue encore plus délicate par l’absence de leur capitaine et All-Star, Lionel Gaudoux, malade.

Le premier quart temps est équilibré. Mutts (8 pts) et Cuthbertson (5 pts) portent l’Élan, même si la réussite longue distance tarde à venir. Berlin prend jusqu’à six points d’avance, mais Chalon reste propre dans le jeu, agressif en défense et collectif avec 10 passes décisives pour seulement 2 balles perdues. Les Rouges et Blancs terminent mieux la période et restent au contact : 24–25.

Le début du deuxième quart est tonitruant : Hill enflamme le Colisée avec 8 points d’affilée et force Berlin à arrêter le jeu. Chalon pousse, mène, mais ne parvient pas à creuser un écart supérieur à six points. Berlin répond grâce à son adresse extérieure et à plusieurs rebonds offensifs (11 contre 7 à la pause). Chalon manque quelques paniers faciles, mais les deux équipes livrent un superbe match, engagé, rythmé et offensif. Les Chalonnais rentrent aux vestiaires en tête : 49–47.

Chalon jouait ce soir un match capital de Basketball Champions League face à l’ALBA Berlin, avec la possibilité de décrocher directement son ticket pour le tour suivant en s’imposant ou en s’inclinant de moins de cinq points. Une mission déjà compliquée, rendue encore plus délicate par l’absence de leur capitaine et All-Star, Lionel Gaudoux, malade.

Le premier quart temps est équilibré. Mutts (8 pts) et Cuthbertson (5 pts) portent l’Élan, même si la réussite longue distance tarde à venir. Berlin prend jusqu’à six points d’avance, mais Chalon reste propre dans le jeu, agressif en défense et collectif avec 10 passes décisives pour seulement 2 balles perdues. Les Rouges et Blancs terminent mieux la période et restent au contact : 24–25.

Le début du deuxième quart est tonitruant : Hill enflamme le Colisée avec 7 points d’affilée et force Berlin à arrêter le jeu. Chalon pousse, mène, mais ne parvient pas à creuser un écart supérieur à six points. Berlin répond grâce à son adresse extérieure et à plusieurs rebonds offensifs (11 contre 7 à la pause). Chalon manque quelques paniers faciles, mais les deux équipes livrent un superbe match, engagé, rythmé et offensif. Les Chalonnais rentrent aux vestiaires en tête : 49–47.

Le troisième quart redémarre parfaitement : un tir primé, une défense intense, Choupas qui arrache un ballon, Hill qui allume encore… Chalon prend dix points d’avance, le Colisée est debout. Mais Berlin refuse de sombrer et punit chaque approximation chalonnaise. Les Allemands reviennent en transition, enquillent les tirs à 3 points et recollent à 61–61. La fin du quart est plus compliquée pour l’Élan, qui ne convertit plus ses tirs ouverts tandis que Berlin, lui, arrose avec succès derrière l’arc. Les visiteurs prennent les commandes 71–67. Avec les cinq points perdus à l’aller, Chalon n’a alors plus de marge.

Le dernier acte démarre avec une nouvelle flèche de Choupas qui relance Chalon. La bataille est rude, physique, et l’absence de Gaudoux se fait sentir dans la raquette. L’Élan tient grâce à son mental, à l’activité incroyable de Choupas dans tous les secteurs, à Hill qui grimpe à 22 points et à un dunk monumental de Mutts qui embrase la salle. Chalon repasse devant, mais Berlin ne tremble pas. Les Allemands ne manquent plus leurs lancers et, lorsqu’ils ratent, s’offrent le rebond offensif avant de sanctionner derrière l’arc. La cinquième faute sifflée contre Zach, très contestée, fait basculer le match : Berlin passe à +5, puis creuse l’écart sur une perte de balle et un nouveau tir lointain. À 1’30 de la fin, Chalon est à –11 et ne reviendra plus. Score final : 91–100. Berlin repart du Colisée avec la victoire et le point-average, fort d’un impressionnant 17/35 à trois points.

Les joueurs chalonnais auront tout donné, mais ils étaient trop courts physiquement pour répondre à l’intensité allemande dans le money-time. Chalon peut encore se qualifier directement, mais n’a désormais plus son destin en main. Une victoire la semaine prochaine à la maison contre Nymburk est impérative, tout comme espérer un faux pas des Allemands face à Sabah.

Le troisième quart redémarre parfaitement : un tir primé, une défense intense, Choupas qui arrache un ballon, Hill qui allume encore… Chalon prend dix points d’avance, le Colisée est debout. Mais Berlin refuse de sombrer et punit chaque approximation chalonnaise. Les Allemands reviennent en transition, enquillent les tirs à 3 points et recollent à 61–61. La fin du quart est plus compliquée pour l’Élan, qui ne convertit plus ses tirs ouverts tandis que Berlin, lui, arrose avec succès derrière l’arc. Les visiteurs prennent les commandes 71–67. Avec les cinq points perdus à l’aller, Chalon n’a alors plus de marge.

Le dernier acte démarre avec une nouvelle flèche de Choupas qui relance Chalon. La bataille est rude, physique, et l’absence de Gaudoux se fait sentir dans la raquette. L’Élan tient grâce à son mental, à l’activité incroyable de Choupas dans tous les secteurs, à Hill qui grimpe à 22 points et à un dunk monumental de Mutts qui embrase la salle. Chalon repasse devant, mais Berlin ne tremble pas. Les Allemands ne manquent plus leurs lancers et, lorsqu’ils ratent, s’offrent le rebond offensif avant de sanctionner derrière l’arc. La cinquième faute sifflée contre Zach, très contestée, fait basculer le match : Berlin passe à +5, puis creuse l’écart sur une perte de balle et un nouveau tir lointain. À 1’30 de la fin, Chalon est à –11 et ne reviendra plus. Score final : 90–99. Berlin repart du Colisée avec la victoire et le point-average, fort d’un impressionnant 17/35 à trois points.

Les joueurs chalonnais auront tout donné, mais ils étaient trop courts physiquement pour répondre à l’intensité allemande dans le money-time. Chalon peut encore se qualifier directement, mais n’a désormais plus son destin en main. Une victoire la semaine prochaine à la maison contre Nymburk est impérative, tout comme espérer un faux pas des Allemands face à Sabah.

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