La passe de 3 avec St Quentin ?
Je n'étais pas au match, et je n'ai pas suivi sur internet, donc .... Si je me base sur le résumé de Goof ici en page d'accueil et sur le résumé du JSL d’aujourd’hui ben ce n’était quand même pas bien reluisant non ? Si a chaque fois que notre adversaire nous pose des défenses de zone on est dans la m…. Ça ne va pas le faire là. Une surutilisation de Gaudoux et Cuthbertson qui se démultiplie en défense. Encore une grande difficulté dans la raquette dû à notre manque de taille (le JSL). Heureusement que l’on a corrigé hier les balles perdues et le % aux LFs sinon on était chocolat comme contre Nanterre. Je suis dubitatif, malgré les résultats actuels. On a toujours un manque de taille, et on est trop court en nombre à l’intérieur. Anochili ne joue que 11mn hier, 20 secondes de plus que Tonnellier. Tout le reste du boulot c’est pour Gaudoux, Cuth. et Mutts. Ils vont tenir le choc à 2 matchs par semaine ?
Très content du résultat contre St Quentin, content de la mentalité du groupe pour le combat, inquiet pour la suite. Il faut simplement espérer qu’un des 3 nommés ci-dessus ne se blesse pas. Combien de temps cela va tenir. Qu’en pensez-vous ? 😉
Fichiers téléversés :
Citation de 71fait... le 12 octobre 2025, 18:07C’est clair que nos adversaires vont s’adapter à notre jeu et proposer de plus en plus une défense de zone + ralentir le jeu mais le coach et les joueurs vont aussi s’adapter, non ?
Il manque de la taille certes (notre intérieur tout terrain Gaudoux n’est qu’à 1,98m !) et on n’est pas à l’abris d’une blessure. Mais souvenez vous de l’année du dernier titre, on jouait avec combien de gars : 7, allez 8 max. Choulet disait que les mecs avaient besoin d’etre impliqués. Et des gars comme Gaudoux ou Cut ont besoin d’etre sur le terrain pour etre dans leur match, l’annee derniere c’etait pareil. J’avais lu ou entendu le coach dire qu’ ils avaient un programme de recup specifique.
Enfin Leray, pour moi trop showtime et manque d’assurance dans son tir, un anti Stockton, c’est son defaut. Souvent il s’emballe et souvent il refuse des shoot ouvert alors qu’il va en prendre un casse croute... Il doit apprendre et avec 2 ou 3 matchs par semaine on va vite voir s’il est intelligent. Faut lui laisser encore 1 mois. En attendant, Nadolny le relait effectivement super bien. Celui-la il faut bien le surveiller. Le coach disait il y a peu qu’il avait un potentiel enorme, qu’il avait confiance en lui (mentalité ricain depuis son p1ssage en NCAA) et qu’il progresse tous les jours ("c’est une eponge qui apprend vite et qui est demandeur de conseil"). D’ailleurs si qqun a son itw dans leJSL ce serait cool de le partager.
Voici, voilou 😀
Basket-ball - Élite Clarence Nadolny : « J’ai confiance en moi, rien ne tombe du ciel »
Elric Delord ne tarit pas d’éloges à son égard. « Clarence (Nadolny) est déterminé dans sa volonté de réussir au plus haut niveau possible. Un peu comme les joueurs aux États-Unis où il a fait ses études. Il a le droit d’avoir confiance en lui tellement il travaille pour ça. Il sait qui il est. Il prend les infos. C’est une éponge quand je lui dis quelque chose. C’est pour cela qu’il avance aussi vite. » Passé par l’Université de Texas Tech (2019-22), puis la N1 avec Andrézieux (2022-23) et la Pro B avec Rouen, Clarence Nadolny semble gravir les marches sans complexe, à l’instar de Lionel Gaudoux.
Après avoir perdu contre Nanterre, comment expliquez-vous ces deux succès à Monaco puis à Berlin ?
« On a eu un mauvais goût de la prestation rendue à la maison contre Nanterre. Comme le coach dit, on a beau jouer Monaco, en réalité on ne prend pas en compte les adversaires. On traite chaque équipe de la même façon. Ce qui est important, c’est de garder notre identité. On a réussi à la retrouver durant 40 minutes. On s’est bien battu. Et à Berlin, on a su s’ajuster toujours avec cette même mentalité et cette même identité. »
Gagner à Monaco sans Jeremiah (Hill), cela prouve que Chalon a beaucoup de ressources, n’est-ce pas ?
« On a un très bon groupe, très talentueux. Chacun a des forces que l’on doit apprendre à exploiter. Et quand on le fait bien, le rendement est plutôt pas mal. »
Vous sortez de deux saisons en N1 puis deux autres en Pro B. Et pourtant, vous n’avez pas peur sur le parquet. D’où vient cette confiance ?
« C’est la préparation. Je travaille très dur et cela efface ce stress que certaines personnes peuvent avoir. Je pars du principe que lorsque l’on bosse dur et que l’on fait bien les choses, il n’y a pas de raison que cela ne se passe pas bien sur le terrain. Je suis donc très confiant en mon travail. Je fais ce que je sais faire et ça ressort sur ces deux derniers matchs. Rien ne tombe du ciel. C’est une confiance en moi qui vient aussi de mon habitude à jouer dans des salles hostiles. Et ça m’aide aujourd’hui, sans aucun doute… »
Vous évoquez votre expérience en NCAA ?
« Oui, j’ai été formé à l’Université de Texas Tech (2019-22) dans la Big 12 qui est l’une des meilleures conférences aux États-Unis […] On a joué dans des Arenas NBA comme le Madison Square Garden ou celle des Chicago Bulls, chez les Warriors… Donc je suis un peu habitué et je n’ai pas eu peur, en effet, à Berlin. »
Quels sont vos objectifs cette saison ?
« Honnêtement, je sais que personnellement je suis toujours dans une phase d’adaptation et de transition. J’essaye juste d’être le meilleur de moi-même en tâchant de remplir mon rôle. Peu importe mon temps de jeu, il faut que je remplisse ma mission et il faut que l’on continue à gagner des matchs, collectivement, en surfant sur la bonne dynamique pour faire un bon run en playoffs. Individuellement, j’aimerais jouer un jour au plus haut niveau en Europe qui est l’Euroligue. Mais il y a toujours plus (rire, ndlr)… Des joueurs arrivent à franchir la passerelle entre l’Euroligue et la NBA. Il faut y aller étape par étape. Je ne vois pas plus loin que cette saison. Je suis concentré sur chaque match et le reste viendra. »
Source : lejsl.com